Sur le plan théorique, j'apprends :

  • les quatre étapes à la base de la perception d'une douleur aiguë,
  • les mots pour décrire mes maux,
  • les croyances et les causes discutables sur l'origine de mes douleurs lombaires.

Sur le plan pratique, je fais :

  • l'identification de la ou des couleurs prises par mes douleurs lombaires.

Dans ma vie de tous les jours, je m'entraîne :


Je vérifie maintenant mes connaissances en répondant au questionnaire.

Je détermine l'origine de mes douleurs 


Les plus fréquentes et les plus banales. Je combats le mal par le mal, à petite dose. Je bouge, je m'étire et fais peu de cas des manifestations douloureuses résultant de mes manoeuvres conventionnelles.

Fréquentes et banales. Quand elles attaquent, je me replie. Quand elles se retirent, j'attaque ! Et dans mes mouvements ? J'évite les extensions arrières.  Inutile d'alerter l'occupant en exposant mes points faibles.

Plus rares. J'utilise le repli. J'évite les exercices de flexion avant ou les charges lourdes. Ces manoeuvres augmentent  les contraintes sur une structure affaiblie. Le temps reste un facteur décisif. Dans plus de la moitié des cas, l'évolution est favorable.

Vers l'avant, difficile !

Vers l'arrrière, douloureux !

Une tactique de stabilisation.

 


Tout dépend de l'importance de l'assaut. Repli et patience d'abord pour donner à la lésion une chance de se refaire des forces. J'évite soigneusement toutes les manoeuvres reproduisant des douleurs irradiantes.

Mais alors laquelle ?

Un atout à manier avec prudence...