Les plus fréquentes et les plus banales. Je combats le mal par le mal,
à petite dose. Je bouge, je m'étire et fais peu de cas des manifestations douloureuses
résultant de mes manoeuvres conventionnelles. |
Fréquentes et banales. Quand elles attaquent, je me replie. Quand elles
se retirent, j'attaque ! Et dans mes mouvements ? J'évite les extensions
arrières. Inutile d'alerter l'occupant en exposant mes points faibles. |
Plus rares. J'utilise le repli. J'évite les exercices de flexion avant
ou les charges lourdes. Ces manoeuvres augmentent les contraintes sur une structure
affaiblie. Le temps reste un facteur décisif. Dans plus de la moitié des cas,
l'évolution est favorable. |
Vers l'avant, difficile !
Vers l'arrrière, douloureux !
Une tactique de stabilisation.
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Tout dépend de l'importance de l'assaut. Repli et patience d'abord pour
donner à la lésion une chance de se refaire des forces. J'évite soigneusement toutes
les manoeuvres reproduisant des douleurs irradiantes. |
Mais alors laquelle ?
Un atout à manier avec prudence... |