Travail personnel

	Sur le plan théorique j'apprends : l'utilité, les limites et les contre-indications des médications utilisées dans le contrôle de la douleur aiguë et de la douleur chronique.
	Sur le plan pratique, je fais : l'identification des médication(s) utilisée(s) pour combattre ma douleur, aiguë ou chronique ; l'identification de la catégorie à laquelle appartiennent mes médications ; l'identification des effets secondaires de mes médicaments.
	Dans ma vie de tous les jours, je m'entraîne : à mes préparations physiques et mentales ; à substituer au contrôle externe exercé par les médications sur ma douleur un contrôle interne personnel sur mes souffrances ; à mettre sur pied un plan de sevrage pour me débarrasser de ma béquille pharmacologique.

Je vérifie maintenant mes connaissances en répondant au questionnaire.

Je remplis mon carnet de route.

J'identifie mes médicaments :

Nom du produit :

Soulagement attendu :
Délai avant de produire un effet :
Effets secondaires :
court terme :
long terme :
Interactions avec :
les somnifères :
les tranquillisants :
l'alcool :
certains aliments :

(Une version plus simple à imprimer est disponible ici.)

Posez ces questions à votre pharmacien et remplissez le tableau ci-dessous...

Vous pouvez aussi consulter des sites sur internet qui renferment beaucoup d'informations sur le sujet.

Je remplis le tableau ci-dessous ...

Nom de commerce (noter sur cette liste tous vos médicaments)	Classification (tel que décrit dans ce chapitre)	Force (sur le flacon)	Dose quotidienne habituelle	Mauvais jours
Valium	Tranquillisant	125 mg	3 comprimés	5 comprimés

(Version pour papier)

J'établis un plan de sevrage

La technique des « petits pas »

Première étape

Prendre ces médicaments à heure fixe même sans nécessité et non au besoin quand la douleur devient sévère. Un exemple : toutes les quatre heures.

Huit heures

Midi

Seize heures

Vingt heures

Deuxième étape

Faire mélanger par votre pharmacien et si possible avec l'approbation de votre médecin, l'ingrédient actif avec un agent neutre.

100%

75%

50%

Troisième étape

Diminuer très progressivement la force de l'ingrédient actif.

Quatrième étape

Augmenter la période entre les prises de médicaments ou diminuer le nombre de prise quotidienne.

Dans certains programmes de sevrage, on ajoute même des ingrédients amers et inutiles comme la quinine. Elle altère le goût de la médication initiale et évite ainsi « l'effet récompense » associé à la prise habituelle du médicament.

À la fin du programme de sevrage, reste souvent, seul vestige de la médication initiale, le goût amer et désagréable de l'ingrédient inutile.

Le plus étrange ?

Certains en redemandent encore !

J'utilise cette technique avec les médicaments suivants :

les barbituriques ;

le valium et certains autres médicaments comme les antidépresseurs.

Pharmacien et pharmacienne peuvent ici m'être d'une aide précieuse.

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