Chaque jour des cellules du corps vieillissent et meurent. D'autres se forment. Blessures ou irritations accélèrent ce processus. Il y a alors inflammation. Les anti-inflammatoires ralentissent ce processus. Ils sont regroupés en deux catégories : les stéroïdes comme la cortisone et les non-stéroïdes comme le phenylbutazone. Si vous vous plaignez de douleurs lombaires, vous avez toutes les chances de vous en faire prescrire. À utiliser peut être, mais pour une durée restreinte.
Retrait ? Attention à certaines conditions particulières. Consultez votre pharmacien avant d'entreprendre un sevrage rapide... Pénalités ! Dépend du type de médicament utilisé. En prime ? Consultez le tableau des effets secondaires ! |
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Terminé ! Je gère moi-même mes douleurs chroniques, mes souffrances même si j'utilise parfois quelques anti-inflammatoires stéroïdiens. Je choisis d'apprendre à apprendre et non d'apprendre à dépendre. |
Chaque jour des cellules du corps vieillissent et meurent. D'autres se forment. Blessures ou irritations accélèrent ce processus. Il y a alors inflammation.
Le processus normal de vieillissement du corps et les causes mécaniques associées (usure des surfaces articulaires ou des facettes) répondent mal aux anti-inflammatoires stéroïdiens.
À court terme :
des difficultés à digérer, une augmentation de l'appétit et une tendance à engraisser, des troubles de la vision et une augmentation de l'anxiété ;
À moyen terme :
l'impuissance sexuelle, un arrêt des menstruations, des nausées, des brûlures d'estomac, des troubles cardiaques, des difficultés de cicatrisation des blessures et plus spécifiquement une augmentation de vos douleurs dorsales !
À long terme :
des perturbations profondes des mécanismes glandulaires, du diabète, l'accélération de la ménopause, de l'hypertension artérielle, du glaucome etc...