Chaque jour des cellules du corps vieillissent et meurent. D'autres se forment. Blessures ou irritations accélèrent ce processus. Il y a alors inflammation. Les anti-inflammatoires ralentissent ce processus. Ils sont regroupés en deux catégories : les stéroïdes comme la cortisone et les non-stéroïdes comme le phenylbutazone. Si vous vous plaignez de douleurs lombaires, vous avez toutes les chances de vous en faire prescrire. Vous pouvez aussi vous en procurer en vente libre. À utiliser pour un temps restreint.
Retrait ? Pas de conditions particulières. Pénalités ! Aucune. En prime ? Consultez le tableau des effets secondaires ! |
Je gère moi-même mes douleurs chroniques, mes souffrances même si j'utilise parfois quelques anti-inflammatoires non stéroïdiens. Je choisis d'apprendre à apprendre et non d'apprendre à dépendre. |
Le plus connu ? À haute dose l'aspirine, encore elle ! La moins toxique aussi.
S'ils diminuent l'inflammation, ils n'atténuent pas toujours la souffrance. Le processus normal de vieillissement du corps et les causes mécaniques associées (usure des surfaces articulaires ou des facettes) répondent mal aux anti-inflammatoires.
Réduire la chimie de la douleur à un simple processus d'inflammation ne correspond pas à la réalité.
Les anti-inflammatoires agissent parfois sur la douleur dorsale,
rarement sur la souffrance.
Attention à leurs effets
secondaires :