Les barbituriques (somnifères)

Médicaments de synthèse utilisés pour leur action sédative ou hypnotique.

Retrait ?

Une stratégie spécifique : celle des petits pas, des retraits successifs pour vider le compte. Trop habitué à une traite quotidienne, l'organisme tolère mal un sevrage brutal. La cure de désintoxication débute par une réduction de 10 à 15% de la médication. Elle se poursuit par une réduction graduelle du polluant dans des proportions identiques, tous les deux jours, jusqu'à sa suppression totale . Cet objectif prend deux semaines.

Pénalités !

Une fatigue considérable, une perturbation profonde du sommeil, un véritable «manque » pour le somnifère. Plus de sommeil sans barbiturique. Et un sommeil de pauvre qualité avec les barbituriques.

Le cercle vicieux ! Votre condition s'améliore de façon significative deux semaines après le début du sevrage.

En prime ?

Plus de somnolence durant vos activités quotidiennes, au volant ou en présence de vos amis !

Nom En vente
libre?
Amytal  
Butisol sodique  
Fiorinal  
Mebaral  
Nembutal sodique  
Phenaphen  
Phénobarbital  
Plexonal  
Séconal sodique  
Soneryl  
Thuinal  
 

Terminé ! Je n'utilise plus les médicaments à base de somnifères.

Je gère moi-même mon propre sommeil !

Je ne me laisse pas tenter par la fausse publicité. Plus d'emprunts, plus de dettes à long terme.

Je choisis d'apprendre à apprendre et non d'apprendre à dépendre.

L'étape la plus importante :
ma décision personnelle de mettre un terme à cette dépendance.

J'utilise le support du groupe, de l'animateur/trice et d'un ou de plusieurs membres privilégiés de mon entourage.

J'en reste aux apprentissages proposés malgré le besoin initial créé par la dépendance vis à vis de la drogue et par les effets secondaires désagréables de sa suppression.

Réalité !

Les somnifères ne font pas dormir, ils abrutissent. L'état auquel ils conduisent n'a que l'apparence au sommeil. Ils induisent un repos physiologique amputé des composantes essentielles à une bonne récupération.

Les somnifères, en se substituant aux mécanismes habituels de régulation, entraînent la dépendance. Plus de sommeil possible sans barbituriques.

Les somnifères provoquent l'accoutumance. Pour rester efficaces, ils nécessitent des doses de plus en plus importantes.

Leur utilisation régulière aboutit à des états dépressifs... qui s'additionnent souvent à ceux créés par les narcotiques !

Ils occasionnent fréquemment des douleurs musculaires, articulaires ou névralgiques... Excellent moyen de prolonger vos souffrances dorsales !

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