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Oui |
Non |
Autre |
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Ma douleur dure depuis plus de six mois. |
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Par définition, une douleur chronique dure plus de six mois. |
Ma douleur se manifeste de façon sourde et assez générale. |
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La description de la douleur dépasse largement la base physique de cette
douleur. |
Mes réflexes, comme l'extension de la jambe sont diminués. |
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Possible, mais la souffrance provient rarement des racines nerveuses.
Elle affecte souvent muscles et ligaments. |
J'éprouve des pertes de la sensibilité des membres inférieurs. |
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Possible, mais pas obligatoire. |
Mon mal de dos s'accompagne de : maux de tête, hypertension,
ulcères, allergies, asthme, boules dans la gorge ou l'estomac, raideurs musculaires,
fatigue. |
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Dans la douleur chronique, 80 % des intéressés souffrent de l'un ou
l'autre de ces troubles associés. |
J'éprouve des engourdissements dans les membres inférieurs. |
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Possible, mais pas obligatoire. |
J'ai réduit de beaucoup, ou même complètement abandonné, la pratique
de mes activités favorites. |
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La plupart du temps, ces activités ont été abandonnées. |
Je prends sur une base régulière des médicaments contre la douleur. |
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La prise régulière d'analgésiques ou d'anti-inflammatoires accompagne
souvent la douleur chronique. |
Ma douleur chronique m'occasionne des problèmes avec le reste de ma
famille. |
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Cette douleur est plus ou moins bien acceptée. |
J'ai consulté, pour tenter de diminuer mes souffrances, plus de trois
professionnels de la santé (médecin, kiné, physio, chiro, etc.). |
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Souvent, plus de trois fois. |
Je souffre d'une réduction de ma vie amoureuse. |
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Possible, mais pas obligatoire. |
Je me sens frustré, irritable, dépressif et angoissé. |
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Le contraire serait étonnant ! |
J'affirme que la guérison de ma lombalgie ne peut entraîner des
conséquences indésirables. |
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Nous en reparlerons... |
À l'aide du tableau ci-dessous, j'identifie le ou les rôles sociaux que ma douleur
peut à l'occasion et souvent à mon insu m'amener à jouer. Difficile à faire ? Demandez
l'aide de votre entourage !
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Malgré les démentis successifs, je crois
fermement à une cause organique décelable dans ma lombalgie. |
Je ne sais plus que faire. Alors,
j'attends, sur le dos, la cure miracle... |
Exempté de responsabilités sociales et
familiales, je ne m'occupe de rien. |
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Je suis malade. Au médecin de me soigner : son problème,
pas le mien ! |
J'ai consommé beaucoup de spécialistes. J'ai goûté à
tout ... sauf à vous ! |
Moi, je travaille dur à avoir mal. Je suis payé pour ! |
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J'ai ma dose. Gratuitement. Légalement ! |
Guérir ! Après, ma femme reviendra, on m'aimera... |
Je souffre, pas vous. J'ai des droits. Je veux ceci, faites
cela.. |
Quelles sont les conséquences indésirables de la guérison qui pourraient survenir
dans ma vie, si, tout à coup, je ne souffrais plus de lombalgie chronique ?
La guérison de ma lombalgie chronique va inévitablement susciter des conséquences
indésirables ou des inconvénients. Pour moi, l'important c'est d'identifier des
solutions destinées à les supprimer. Sur les chemins de la guérison, l'élimination
complète de ces entraves constitue l'un des derniers prix à payer pour prétendre enfin
à une amélioration ou à une guérison significative.
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Conséquences indésirables :
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Solutions:
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À la maison : |
- perte du plaisir de me faire masser puisque je n'aurai plus mal au dos...
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Exemple : Je continue à m'accorder ce plaisir en le partageant avec ma
partenaire ou mon partenaire... |
- négociation de la garde de mes enfants puisque, moi aussi, je veux de nouveau faire du
sport...
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- diminution de l'attention accordée par mon entourage,
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- augmentation de mes responsabilités familiales.
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Au travail : |
- retour dans un lieu de travail que je déteste,
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- fréquentation de personnes que je supporte difficilement,
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- abandon de périodes de repos prolongé et de congés,
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- perte de compensations monétaires : pensions, retraite anticipée,
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Autres :
- J'identifie ici les autres conséquences indésirables de ma guérison :
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