Un médicament destiné à calmer l'anxiété et ses conséquences (insomnie, hyperémotivité, élévation de la tension) idéalement sans modifier votre état de conscience ni provoquer de dépression. Ils permettent de vous aider à très court terme, mais n'ont aucune valeur à long terme sur la lombalgie chronique.
Retrait ? Une seule technique : le retrait global et définitif. La plupart des tranquillisants peuvent être supprimés de façon radicale sans trop d'effets secondaires. On vide les comptes. On repart à zéro : une action concrète et décisive ! Dans la perspective de cette décision initiale, les effets désagréables des premiers jours deviennent facilement tolérables. Une exception : le Valium (connu sous le nom générique de Diazepam ) . Ce tranquillisant doit être diminué graduellement sur une période d'une semaine. Pénalités ! Mineures, à l'exception de l'anxiété et de l'agitation temporaire des premiers jours. En prime ? Plus de somnolence durant vos activités quotidiennes, au volant ou avec vos amis ! Récupération des ressources émotionnelles et intellectuelles significativement amoindries par les tranquillisants mineurs. |
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Terminé. Je n'utilise plus les médicaments à base de tranquillisants mineurs. Je gère moi-même ma propre anxiété ! Je ne me laisse pas tenter par la fausse publicité. Plus d'emprunts, plus de dettes à long terme. Je choisis d'apprendre à apprendre et non d'apprendre à dépendre. L'étape la plus importante : ma décision personnelle de mettre un terme à cette dépendance. J'utilise le support du groupe, du praticien ou de la praticienne et d'un ou de plusieurs membres privilégiés de mon entourage. J'en reste aux apprentissages proposés malgré le besoin initial créé par la dépendance vis à vis de la drogue et par les effets secondaires désagréables de sa suppression. |
Ils permettent, tout au plus, de supporter blessures, douleurs aiguës ou épreuves pénibles sans l'aide des narcotiques. À court terme, un moindre mal à condition d'accepter leurs effets secondaires comme la somnolence, les étourdissements, l'incoordination et les pertes de mémoire.
Ils abaissent donc votre seuil de tolérance à la douleur. Vos souffrances augmentent ? Votre dosage aussi ! Mais le répit n'aura qu'un temps. Nouvelles souffrances : nouvelle dose ; plus puissante encore. Une boucle qui n'en finit plus de se refermer.
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