Rapportez à un médecin vos douleurs lombaires. En capitaine soucieux du
bien-être de ses troupes, il réduit considérablement votre temps de mobilisation. Pas d'activité physique : un repli stratégique. Une attitude conservatrice, une attitude conforme à une gestion reconnue de la douleur aiguë lors d'une attaque dorsale brutale. Quelques semaines plus tard, mentionnez-lui de nouveau vos douleurs. Vous recevrez peut-être la même recommandation : une nouvelle prescription de repos. Une erreur de perspective cette fois : dans la victoire contre la douleur chronique, préparation physique et mobilité jouent un rôle déterminant. En limitant vos activités physiques, vous limitez aussi vos chances de succès contre la douleur dorsale ! |
Et les activités physiques, c'est comme les emprunts. Il y en a pour tous les goûts. Mais n'oubliez pas que les taux d'intérêts dépendent ici de vos cartes de la douleur. |
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La préparation physique : un programme en trois parties |
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Pour faire le contrepoids à vos lombalgies, placez dans l'autre
plateau votre programme d'entraînement physique. Un programme en trois parties. D'abord quelques routines motrices : des armes classiques contre la lombalgie chronique. Ensuite l'entraînement cardiorespiratoire, ces activités sportives qui entretiennent la condition physique.
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Enfin quelques exercices de vigilance au niveau du bassin pour
éviter de vous laisser surprendre. Des activités à risques ? Certes, mais vous en connaissez les contraintes. Des activités bien moins dangereuses pourtant que l'immobilité recommandée par quelques mauvais stratèges. Comme une armée désoeuvrée, un dos inactif est un dos vulnérable. Plus tard, vous ajouterez sur le plateau de la balance votre préparation mentale et une meilleure connaissance du terrain. La gestion de la lombalgie chronique ? |
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